ARG !!! le traite pas d'inférieur !!!
Bon (*très en colère*)...
pour me calmer je vais mettre quelques dessin que j'ai fais aujourd'hui ^^
ditez moi se que vous en pensez ^^
- Spoiler:
- Spoiler:
voili voilou ^^
alors la première c'est May et May ^^°
raison de cet explois ... je travail en ce moment sur la construction d'un scénar a peu près potable et j'aimerais y mettre May et Melzak, donc je plavail sur le style des deux perso.
Je pense que je commence a bien avoir en main Melzak, mais j'ai pour May je pense avoir encore quelques ratés ^^
(le deuxième dessin c'est Melzak-kun a travers le temps ^^)
Réedition du 23/01/09Voila alors bin je revient en force lol avec deux petit texte "charmant" et voila (toujours pareil poster des coms ;p)
Croc de Lune
C’est dans un tourment de flamme que se réveillent passion et rage.
Dans un torrent de Lave que meurent des personnes, brûlées, par la Haine et l’Hypocrisie humaine.
Et moi, Je suis là, dans tout ça, c’est moi qui ai brisé l’allumette de cette guerre entre Nature et Homme, entre Feu et Vie…
Puis, armée d’une barre de fer, Je m’amuse à tuer ces pauvres gens qui hurlent, qui fuient.
Je ne sais si c’est à cause de la peur, des flammes que ces pauvres personnes, désorientées, me reviennent toujours pour continuer ce massacre Infini.
Pourtant je ris de voir tant de sang pur sur mes mains, de sentir tant de morts autour de Moi, Je me plais dans cet ensemble morbide. Je me sens à l’aise de voir la souffrance des autres, et Je ne m’en lasse pas…
Et ce rictus affreux qui barre mon visage, lui donne un air sadique…
Et ses mains, qui sont miennes, et qui s’animent, se battent et tuent sans cesse en faisant de gracieux mouvements.
Et pourtant, à chaque fois, c’est ce même éclat de rire, qui me convainc que ce que Je fais n’est peut être pas si mal…
...
Histoire sans nom
Ce début, milieu ou fin d’histoire se passe sur les mers. Des bateaux marchants et militaires se croisent sans cesse sous les regards amusés des Pirates. Les pirates, du Bateau de L’Aube Noire, viennent de faire prisonniers la totalités des membres d’une petite frégate à voiles et ils les ont ligotés sur le pont, face aux éléments calmes du soir et au capitaine svelte de L’Aube. Un cuisinier nommé Dray Kivikas et un matelot du nom de Freyr Guelma arrivent sur le pont tout en se disputant pour voir le capitaine. Celui-ci est en train d’interroger les prisonniers sur la présence d’un trésor mythique sur leur petite frégate marchande anodine.Le capitaine était face au vent doux du soir et on entendait les vagues frapper en cadence la coque du navire obscur dans le soleil couchant. Face à lui se tenait une trentaine d’hommes à genoux. Tous la tête basse, tous dégoulinant de sang. La femme tenait son magnifique sabre a la garde doré d’une main ferme, elle était capitaine, elle se devait bien d’être dure, que cela soit avec son équipage ou avec ses prisonniers. Surtout avec les prisonniers. Ce qu’ils avaient en leur possession était d’une valeur inestimable, cette relique allaient mener l’Aube Noire vers de nouveaux horizons, remplis de gloire et d’argent. Le capitaine, une femme aux yeux bleus comme la mer des lagons, scrutait minutieusement les homes face a elle. Ils ne disaient mots et regardaient le pont avec tant d’ardeur, qu’elle devinait aisément qu’ils n’étaient pas marins depuis peu. Le dos de son sabre avait déjà délié beaucoup de langue mais pas celles des hommes prostrés sur son propre pont, elle n’y croyait pas. Tout en se mordant la lèvre inférieure d’un geste rageur elle entendit deux hommes de son bord se rapprocher d’elle. Ils étaient en train de se disputer, se qui l’énerva de plus belle.
Les deux hommes venaient du fin fond du bateau. Le marmiton, a la moustache longue et grasse était tout rouge de colère tandis que son compagnon qui le surplombé de deux bonnes têtes était sans aucune expression apparente mais au fond de ses prunelles marron on discernait une tempête de frustration et d’humiliation.
- Je t’ai pourtant dis de ne surtout pas jeter les fruits et les légumes ! radoté le cuisinier
- Il était pourri ! tu m’entends ! POURRI ! lui répondit d’une façon cinglante Freyr
- Ce n’est pas une raison ! J’aurais très bien pus amputer la partie « pourri » comme tu le dis si bien !
- Pour que nous tombions tous malades ? Merci bien !
Le capitaine n’en n’entendis pas plus, ils avaient beau augmenter le ton à chaque lancé de mot, lorsque les deux yeux bleus comme la glace tranchante se posèrent sur leurs visages, ils devinrent aussi silencieux que la nature leur permettait. Seul le clapotis des vagues et la respiration haletante du dernier homme qui se faisait torturer brisait le silence complet.
- Qu’est ce qu’il se passe ?
Le ton avait était sec et chaque syllabe était longue et marquées.
- C’est Freyr, capitaine ! Il jette des aliments sans mon consentement.
- Il était pourri, capitaine, je pensais ne pas avoir recours à lui demandé pour jeter par-dessus bord un citron rongé par la pourriture.
Le silence retomba, les deux marins attendaient devant le capitaine, qu’elle décision elle allait prendre. Elle les jugea tout deux, mais ne vis rien de compromettant, elle sentait qu’ils avaient tout deux l’impressions d’avoir bien agis. Juste au moment où elle allait délivrer sa sentence, l’homme attaché derrière elle cracha sur le sol et tenta de se relever. Bien que les liens lui séré les poignets, il réussit tout de même à se relever en courbant l’échine.
La rage frappa sa poitrine.
En temps que capitaine elle n’avait jamais était dans une telle position ; jamais on ne l’avait injurier devant ses marins, aussi débiles soit ils. Elle regarda la lame de son sabre lorsqu’une idée germa dans son esprit, en même temps que les sifflements roques et les coups rythmés des prisonniers. Elle allait faire d’une pierre deux coups, ornant son visage d’un des sourires les plus dangereux.
- Voyez-vous, je pense que chaqu’un a ses raisons. Aucuns de vous n’as réellement tors.
Les deux matelots se regardèrent avec effrois, en général lorsque les deux parties étaient gagnantes, c’était pour finir dans l’estomac d’un requin, jeter par-dessus bord.
- Voyez-vous, mes chers petits matelots, je vais vous expliquer une chose, lorsqu’un fruit est pourri, il pourri facilement les autres. De même lorsqu’un prisonnier a la rage, les autres l’attrape de suite ou presque…
Et dans un même geste elle abattit son sabre sur la gorge du prisonnier qui avait craché au sol. Sa gorge se coupa en deux, laissant entre voir du sang et des os. Son corps resta debout quelques instant alors que la tête roulait déjà sur le sol de bois. Lorsque le cops s’avachit, le capitaine se saisit de la tête sanglante par les cheveux et la regarda fixement, les yeux de sa victime encore grands ouverts, toujours vivants.
- Alors ? ça fait mal hein ? Tu aurais pus avoir la vie sauve si tu avais parlé, tu n’as rien dis, et je pense pas que tu puisse dire grand-chose avant longtemps !
Le visage du marin perdit ses couleurs au fur et à mesure que son sang dégoulinait de son moignon de tête, mais il ouvrit tout de même la bouche, comme une poisson hors de l’eau et la referma de suite. Ses yeux devinrent vitreux et il mourut dans la souffrance atroce d’avoir vu son corps loin de sa tête. D’un geste désinvolte jeta la tête à l’eau et revint vers ses officiers. Les autres prisonniers se regardèrent, certain se couchèrent complètement, signe de capitulation, d’autre tentèrent de se jeter a l’eau pour aller chercher la tête de leur propres capitaine dans les profondeur de la mer, mais ne réussirent qu’a se démantibuler les bras ou a se pendre. La jeune femme les regarda et revient vers ses deux hommes en leur tapotant les épaules et d’une voix mielleuse leur ordonna de regagner leurs postes en vitesse. En leur disant également de faire 250 pompes tous les matins jusqu'à la découverte du trésor d’Hertoris, dont ils avaient fait la découverte de la carte un peu plus tôt dans la journée…