fan-Fic' de Mayruhé-san n°2 : D'un monde a l'autre ^^

Voila, en fait cette fan fic, est presque terminée. Je l'aime beaucoup, et je la met ici, parce que c'est notre forum à tous et que je suis émue, c'est vraiment une part de moi qui est éditée sur le forum, sur notre forum... C'est un peu long, j'espère que ça vous fera rire de temps en temps... Mes remarques sont en jaune et en italique. . . ^^





Chapitre I : La rencontre


Link se prélassait dans l’herbe, jouissant d’un soupçon de tranquillité. Depuis qu’il avait envoyé, dans un typhon d’esprits machiavéliques, son pire ennemi Ganondorf et ses subordonnées, le peuple Hyliens était en paix et ne demandait plus d’aide au héros du temps. De plus avec l’aide miraculeuse d’une éditrice kokiri, il avait publié un ou deux tomes dédiés à son périple, expliquant très simplement chaque technique de combat qu’il utilisait dans des cas précis. En plus de tous ces tomes, il avait édité un manuscrit, dédié au maniement rudimentaire de l’épée. Enfin tout ça pour qu’on lui fiche la paix, au fond…
Mais pensez bien (chers lecteurs et lectrices) que ces bouquins furent les plus lus au monde hylien, plus de quelques millions de tomes parurent, tous vendus… Et cela rapportait gros, mais Link, préférait donner cet argent à la population que de le garder pour lui…
Link se sentait plus léger de ne plus porter sur ses épaules, de jeune homme, le destin d’un monde entier qui au moindre faux-pas aurait put écrouler. Il commençait même à reprendre les quelques kilos qu’il avait perdus à force de courir dans tous les sens, et de ne jamais s’arrêter.
Il s’endormit et plana dans sa mémoire un long moment avant que la brume du sommeil ne vienne l’engloutir.

Il se réveilla et ne se trouvait plus dans la forêt Kokiri, mais sur un tapis blancs. Dans la position où il était on aurait put croire qu’il venait de tomber du lit juste à côté. Il examinait la pièce des yeux lorsqu’une mini tornade fit son entrée par la porte boisée tout à gauche de son point de vue. Cette fille était a peu près de son âge, des cheveux blonds volants à la vitesse de ses pas et sa peau légèrement brune. Cette harmonie se mélangeait sans souci a ses lèvres gracieuses et sensuelles, pourtant sa démarche, elle, n’avait rien de sensuel, c’était plutôt lourd et sans grâce mais cela ne la dérangeait guère. Elle ne semblait pas avoir vu Link et Link ne demanda pas à se faire voir et restait courber derrière le lit à regarder les chaussettes de la fille déambuler dans la pièce. Puis il s’arrêta de contempler les deux bouts de laine noire pour regarder le paysage pas la fenêtre…
Rien n’était reconnaissable il n’y avait que des tours de béton et les arbres n’étaient plus de ce monde, seules les mauvaises herbes étaient présentes sur le petit bout de terre qu’il voyait au loin. S’en sans rendre compte il se leva et avança vers la fenêtre et ce qu’il vu l’horrifia de plus belle, ce qu’il avait vu comme étant un bout de terre sèche pourvu de quelques feuilles mortes n’était autre qu’un panneau avec comme graffitis « Désherbant a tout heures, Désherbant a l’heure ».
La jeune fille, horrifiée de cette venue subite et inconnue, se leva et se plaqua contre le mur, avec une sorte de grimace assez comique. Elle ne semblait pas garder son sang froid. Link, la colère grandissant, n’avait pas remarqué que la jeune fille l’avait aperçut et il se tourna vers le mur à coter de lui, et sous un excès de rage donna un coup de poing dans la paroi souple qui explosa et laissa entre voir un trou béant…
Sa main droite était remplie de sang et sur son visage se peignit un calme plat, presque absolu.
La jeune fille avait beau avoir peur de cet inconnu, elle ne resta pas insensible à la souffrance de l’homme blond. Elle fouilla dans un des nombreux tiroirs de la commode à coter de la porte et en retira des bandes de coton ainsi que de l’eau oxygénée et de l’alcool. Elle s’avança vers lui et il posa enfin ses yeux bleus sur elle. Elle imbiba les cotons d’alcool et l’appliqua sur la plais. Link frissonna, cela brûlait la peau et il ne sentait plus ses articulations.
Pour essayer de savoir l’identité du jeune homme, Elle commença à parler.
Sa voix était douce est Link se sentit en parfaite confiance avec cette inconnue :

- Et béé ! On peut dire que tu t’es défoulé sur ma cloison toi ! Comment je vais faire !? Je paye déjà un loyer ; cher. Alors si en plus un inconnu commence à me peter tous les murs, ça va pas le faire !

- Je suis désolé, ça ma vraiment fais mal, de voir, qu’ici, qu’il n’y avait plus une once de verdure… Mais je m’appelle Link, Link le héros du temps !

La réaction de la jeune fille ne fut pas totalement comme l’aurait attendu celui-ci. Elle s’approcha de son visage, si près que leurs lèvres auraient put se toucher au moindre mouvement de celui-ci. Elle mis sa main leurs deux fronts, a la manière des japonais. On aurait put croire qu’elle cherchait à savoir les pensées du blond qui se tenait devant elle. Elle recula et le regarda bizarrement puis elle s’appuya contre le mur et dit dans un murmure:

- Je suis encore tombée sur un malade mental qui se prend pour un personnage de jeux vidéo…
- Comment ? Que racontez vous ?? Oh, puis-je me permettre de vous demander votre prénom ?
- Moi ? Enfin le mien ?
- Oui le votre...
- Mayruhé, Mayruhé Wiss.
- Ah… C’est charment, j’aime bien Mayruhé…ça change du quotidien !
- Sinon qu’est ce que tu fabriques ici, à glander dans mon appart ?
- Heu… je sais pas j’étais en train de dormir sous ma cabane Kokiri quand j’ai atterri ici !
- Haaaaaaaaaaa… d’accord, dit elle sur un ton ironique, et Navi ne traîne plus avec toi ?
- Non, elle était partie en congés maladie, la grippe peut être très dangereuse pour une petite fée…
- D’accord, bon, je vais te refiler des habits de mon grand frère parce que tu peux pas venir dehors avec moi dans cette tenue… ça le fou mal, tu vois ?

Il se regarda. En effet, dans sa tenu de kokiri verte il ne pouvait pas sortir, surtout vu la façon de s’habiller chez les habitants de se village inconnu. Il sortis sa carte d’Hyrule, son matériel et passa les habits que lui tendait la jeune femme, il les mis et cela lui allait à merveille. Un jean bleu, un pull noir avec une Triforce graver dessus. Link étonner la regarda, comment pouvait-elle savoir que c’était un gardien d’un fragment, il ne lui avait pourtant rien dit ! Elle remarqua que le jeune homme restait étonner devant son accoutrement…

- Je suis désolée, je sais que tu n’as pas l’habitude de porter se genre de vêtement.
- Non… Non c’est pas ça, mais plutôt, comment sais-tu pour… la Triforce ? Finit-il en chuchotant
- Ah ! ça ? Ah oui, c’est à mon frère, c’est un dingue de jeux vidéos « The legend of Zelda ». Moi ça m’intéresse pas trop, mais bon, si ça te plait, c’est le principal.

Le jeune homme asquiéssa d’un sourire et elle commença à chercher les clés de ce petit appartement. Une fois trouvée, elle dit à Link de sortir et ferma la porte.

Mayruhé regardait le jeune homme avec intérêt, il était mignon, sympathique et très… Très, quelque chose, qu’elle n’arrivait pas à comprendre. A vrai dire elle ne serait pas la seule à tomber amoureuse d’un beau jeune homme blond. Puis elle sortis de sa rêverie, en pensant qu’il était légèrement schizophrène pour se prendre pour Link. Link la regarda, elle rougit puis elle se tourna vers lui et lui dit :

- Ne te fais surtout pas des idées, je rougis parce qu’il fait froid…
- Mais j’ai rien dit, je me contente de regardait ton visage, j’avoue qu’il est beau…
- …
- …
- Bon ! Dépêche-toi de me dire ou tu habites ! Que je sois débarrassée de toi, et que je rentre chez moi, car, ici, maintenant, je me pèle !! dit Mairuhé en rougissant
- Heu… c’est là, dans Forêt Kokiri, la cabane en bois au fond. Dit –il en lui montrant la carte qu’il avait pris tout a l’heure
- Ca va être très dur pour toi, et pour moi à la même occasion, parce que ta forêt je ne vois pas où elle est ?
- Si, si regarde bien la !
- Non mais dans notre monde, ça va pas être possible… Regarde…

Elle lui montra une carte et il ne reconnaissait rien au allant tour, la carte était très difficile à comprendre car il y avait des lignes de toutes les couleurs et dans tous les sens possibles, il la regarda et regarda sa carte puis il la re-regarda et après avoir avalé sa salive il parla :

- Je… Je ne reconnais rien….
- T’inquiète pas on la retrouver ta maison, sinon tu dormira chez moi… c’est pas un problème, la chambre de mon frère est libre…
- Merci, May…
- Pff…. En tous cas on vas se promener en ville, pour essayer de voir si ça te dis pas quelques chose…
- D’accord… Mais ça m’étonnerait que je reconnaisse quelque chose…
- On verra bien.

Ils se promenèrent dans les ruelles désertes de la cité. Link, qui marchait devant Mayruhé, s’étonnait de chaque nouvelle chose qu’il voyait, Mayruhé, quand à elle, n’avait pas l’air embêtée par les gamineries de Link, et même s’amusait avec lui, lui courrant après. C’est alors lorsqu’elle fut déséquilibrée par un objet non identifier qui traînait par terre. Link rapide comme une flèche, couru vers May, pour pas qu’elle tombe au sol et, ils se firent emporter dans le mouvement, et ils tombèrent tous deux dans une poubelle qui débordait et qui croula sous leur poids réunis. Mayruhé était sur le dos et Link était tombé involontairement sur elle. Ils ne pouvaient plus bouger. Link essayait de sortir, mais il ne faisait qu’envenimer la situation, May était dessous lui, bloqué par son poids et la petite taille de la poubelle, et Link, lui, était bloqué à cause du couvercle qui c’était refermé brusquement. Mayruhé tentait de se débarrasser du poids quelle avait sur elle mais elle se rapprochait de plus en plus du visage de Link.

Ils restèrent un moment silencieux, dans le noir.

Link, bousculé par les battements de son coeur réussi à ouvrir le couvercle et sortir des détritus. Il pris la main de la jeune fille blonde pour la remonter en surface et il la plaqua contre lui avec force.

Il baissa la tête vers elle et lui demanda si cela allait, et elle lui retourna la question, les deux réponses furent positives. May sentie que Link baissait la tête pour l’embrasser.

D’un certain point elle était d’accord, mais elle ne voulait pas le montrer car ses parents dans toutes leurs méchancetés, lui avait interdit (jusqu'à qu’elle fugue à ses dix huit ans) de fréquenter des enfants mâles et l’avait contraint à aller dans une école pour jeune fille. Elle avait souffert. Ces parents de faisaient que la persécuter et se délectaient de voir la souffrance s’afficher sur son maigre visage. Ils ne lui avaient même pas dit qu’elle avait un grand frère, et le frère ne savait pas non plus qu’il avait une petite sœur. Les parents avaient été plus humains avec leur première progéniture qu’ils avaient appelé Arka, l’ « Arc ». Ils avaient mis chacun de leur enfant dans une ville différente, toujours a l’opposé l’un de l’autre. Le pire fut qu’elle ne fut pas éduquée mais dressée. Dressée a ne pas avoir de sentiments pour les autres. Dressée a être diabolique. Au Primaire où elle était on la nommait Cœur de pierre ou encore Granit, la Méchante, enfin des surnoms qui ne lui allait absolument pas, vu qu’elle était plutôt jolie maintenant mais qui la faisait devenir de plus en plus dure avec les autre enfants, et pour finir qu’on la mettent a l’écart des autres, car elle était réputée pour être dangereuse.

Leurs lèvres allaient se toucher, elle sentait son cœur battre comme jamais au par avant. Elle tremblait, craignait que se ne soit pas comme elle l’avait toujours rêvée, mais elle se laissa faire, du moins elle aurait voulu...

Il y eu une seconde de blanc, une seconde ou plus rien ne bougea…
Plus rien…
Juste quand leurs lèvres allaient s’unirent, une main se saisit de Mayruhé et l’homme la pris contre lui.

Elle tourna la tête vers l’homme qui la tenait et les avaient stoppé. Elle reconnus alors un autre dégénéré du quartier qui c’était approprié une bande de voyous :



Il « possédait » un groupe à son nom et il aimait a profusion May depuis qu’ils se connaissaient. Elle n’avait jamais rien ressentis pour lui a part de la haine, et de la colère, peu être un peu de pitié pour ce fou (un de plus. . .)sortit tout droit de l’asile et qui se prenait (ça en fait beaucoup. . .)lui aussi pour un personnage de jeux vidéo. Sur le moment cela ne perturba pas la jeune fille, mais sans qu’elle le sache, elle, qui ne s’intéressa pas aux jeux de son frère cadet, mais Ganon et Link venaient du même univers. Il allait approcher ses lèvres de celles de May quand il aperçu son regard. Il frissonna : Le regard de cette blonde se voulait méchant et agressif, elle avait réussi a effrayé quelque peu Ganon, mais juste pour un moment, car cela n’allait pas le décourager pour autant. Il continua son geste pour monter de l’affection à notre jeune fille, lorsque une détonation claqua.

Ganon ne compris pas immédiatement, il n’avait plus May dans les bras, même si il la tenait encore, et sa joue gauche devint rouge, et il comprit. La douleur ne cessa d’augmenter, de la bruler. Et il s’aperçu que c’était la douce convoitise de ses rêvent Sulfureux, qui venait de poser la main sur lui. Elle l’avait frappé.
La colère monta en quelques secondes et explosa quand celle qu’il tenait en otage se libéra d’un geste fort et rapide. Il voulut la frapper, à son tour, pour se venger de l’outrage que cette peste venait de lui faire, devant cette maudite bande, lèche cul, qui le suivait partout… Sa main explosa…

Il hurla, sans comprendre, juste la douleur de s’être brisé la main, juste ça.
Link en position offensive, tenant une barre d’acier chromée qui reposé sur le sol.

Ce jeune homme blond, en face de lui, l’impétueux avait osé… oser lui briser la main… Il ne demeurerait pas sain et sauf, il allait tuer tous ceux qui se mettrait en travers de sa route, la fille et le garçon au bâton de métal.
Il saisit de sa main droite une barre de bois et murmura quelques mots et les deux jeunes gens virent la planchette de bois commencer à l’éviter au cœur de ses paumes grandes ouvertes puis il recommença a baraguiner des mots incompréhensible.

- Comment ça incompréhensible ?
- . . . Ganon, tu étais obligé de me couper en plein chapitre ?
- Pour une narratrice t’es vraiment pas sympa ! Tu tiens vraiment à ce que les lecteurs me prennent pour une c*n ?
- Oui . . . mais bon, allez, je vais être gentille, une épée sa te va a la place de ta planchette ?
- Ah ouais !
- ALORS TU LA FERMES, ET TU ME COUPES PLUS !

Après que moi, la narratrice me sois énervée contre un idiot de personnage principal, je fais en sorte que les grimaces répétés et les charabia a la c*n de Ganon face une épée génialement géniale qui apparaît à la place de se miteux bout de bois. Une épée grande et noire comme la nuit qui n’allait pas tarder a se lever, pour engloutir nos héros et la meute de loup assoiffé de sang pur. Link sentit une goutte de sueur perler au coin de son front : ce que Ganon venait de faire n’était autre que de la magie Noire…

Ils étaient mal barré, lui et Mayruhé pour battre un sorcier et sa meute.

Ganon ria et se mit en position de garde imitant à la perfection Link.
Un duel s’en suit.
Un duel écrit dans l’histoire…

Cette coïncidence ne passa pas inaperçu par May. Elle avait beau nier qu’elle ne connaissait rien en jeu vidéo souvent elle aidée son frère pour le énigme un peu dure et surtout pour les boss finaux, quand il fallait un technique spéciale (La technique du n’importe-quoi, qui consiste comme l’indique son nom a faire n’importe quels ordre sur les touche de la manette) Et son frère avait demandé un jour, il y a déjà quelques années de cela, qu’elle lui finisse le jeu, elle avait accepté à condition qu’après il la laisse tranquille pour la journée…
Oui parce que son frère à beau être plus âgé qu’elle c’est le plus gamin des deux, toujours à être collé contre sa sœur. . .
Mais le jeux qu’elle avait fini se jour là n’était autre que « The legend of Zelda, Ocarina of Time »
Le héros avait vaincue le mal, et tout le monde était content, la seule chose qu’elle retenu était le nom des personnage principaux…
Et c’est personnage principaux se battait là devant ses yeux…Elle n’en revenait pas. Ganon et Link…. Cela la laissa sans voix… Elle n’arrivait toujours pas a réalisait se qui se déroulait sous ses yeux grand ouvert…
La lutte avait déjà commencé depuis un bon moment et on voyait peu à peu Link prendre le dessus sur son ennemi héréditaire. Il est vrai que les coups qu’assainit Link à Ganon étaient puissants malgré cette unique barre de fer qu’il avait en main et malgré sa magistrale épée, Ganon arrivait avec peine à contrer ces coups effroyables…
Coup après coup Link repoussait l’assaillant et fini par le mettre par terre et lui tourna le dos pour partir, quand le perdant lui dit d’une voix forte :


Et Ganon envoya une espèce de petite boule luisante, de couleur jaune. Link la stoppa du tranchant de sa « lame » improvisé. Seulement le Héros du Temps ne s’attendait pas à un second tir de la par de son assaillant, et cette fois il fut touché…
Les effets de la pastille ne tardèrent pas a se montrer, d’abord c’est un nuage de fumé qui accueil les combattants, puis Link, qui avait été touché disparus dans la brume comme Mayruhé qui était a coté de lui. Cette brume chimique était étouffante et entêtante mais lorsque la brume se dissipa, avec un courant d’air hivernal il ne restait que Ganon, Mayruhé et Link…
Ganon se mit a rire, May ne comprenait pas et juste au moment où elle allait parler à Link elle s’arrêta pour ouvrir et fermer la bouche comme un poisson hors de l’eau. Link ne compris pas leur réaction, et Ganon qui était entrain de s’étouffer, lui dit entre deux fous rires :

- Je ne m’attendais pas à ce que cela face cet effet…
- Mais quel effet ?

Et c’est a se moment que Link compris ce qui lui était arrivé, sa voix état juvénile et le poids son arme, qu’il n’était plus le même… Sa force physique avait diminué et il trouva ses habits un peu trop grand à son goût, il eu juste le temps de se prendre les pieds dans son jean pour éviter de se faire couper en deux par Ganon, qui malgré ses fous rires incessants n’abandonna pas le duel pour autant. Link était en mauvaise posture au sol et voyait déjà Ganon charger de nouveau sur lui, et cette fois il ne savait pas comment il s’en sortirait… Ganon donna un coup puissant, rejetant une des ces petites boules jaunes, afin d’aveugler l’ennemi. La brume refit surface engloutissant les trois jeunes adultes. Ganon vit dans brume qui courrait le sol que son coup avait atteint sa cible : du sang rougissait les parterres de la ville. La victoire ne fut pas de trop, pour cet immonde sorcier putride, il pensait qu’il avait vaincue ce petit gnome mais. . . Ganon qui tournait le dos en se réjouissant, ce surpris à entendre des paroles qui ne lui étaient pas inconnu :



- Qui es ce ?

Il se retourna précipitamment et vit avec horreur une forme adulte sortir de la brume qui se dissipé peu a peu…

(A suivre dans le chapitre II. . .)
niark niark niark. . .

Chapitre II : Une vie tranquillement éphémère

Link courait, il s’en voulait. A cause de lui il avait laissé May toute seule, enfin ce n’est pas lui qui avait voulu mais elle qui l’avait obligée à s’enfuir. Il est vrai que dans l’état minable où il se trouvait, il n’aurait rien put faire même pas rivaliser. Il était redevenu un gosse, il était redevenu enfant… Il courrait dans la rue avançant avec peine.



May s’était relevée t’en bien que mal et son épaule, en sang la faisait souffrir atrocement, Ganon n’avait pas tapé dans la chose ennemis juvénile, mais dans sa bien-aimé qui, dans la brume, les couvrants encore, avait obligée Link à fuir. Il avait protesté longuement mais elle lui avait asséné un coup de poing terrible derrière la tête. Il était parti, elle se releva, la brume ne c’était pas complètement dissipé autour d’eux et elle conta sur l’effet de surprise.

- Tu n’aurait jamais du me tourner le dos, pauvre fous !
- Qui est ce ??
- Tu ne devines pas ?

May avait un faible talent d’imitateur, mais sa suffisait pour prendre la voix de Link et, ici, l’illusion était parfaite, Ganon n’y voyait que du feu, mais il fallais faire vite la brume se dissipait rapidement et dans quelques instants il allait découvrir la daube…la jeune fille, malgré cette blessure qui lui mordait l’épaule pris l’ancien tuyau de métal qui avait servi à Link d’arme. Elle le prit de sa main droite et chargea sans demandait son reste. Ganon para, il fallait accélérer le mouvement bientôt la brume allait découvrir son visage plein de sueur. Elle réattaqua son adversaire, de nouveau il para puis dans un rire cynique, il lui reprocha de ne plus être aussi bon qu’avant, May oublia vite sa fatigue pour lui faire ravaler ses mots putrides. La brume disparue…

May resta de dos, elle avait des cheveux blonds coupés court, Ganon n’avait encore rien vu de la farce qui se joué sous son nez. May réfléchissait toute vitesse, sachant que le temps comptait pour elle. Elle s’aperçu qu’elle avait oublier son écharpe, peut-être que cela l’aurait aidé, mais elle n’avait plus le choix elle fouilla dans sa poche pour prendre, deux ou trois petite pierres… Ganon se rapprochait de plus en plus et May devait calculer son coup, elle avait beau avoir aucun talent en épée, c’était un petit génie de l’explosif, elle avait mis au poing toute seule les trois petites boules rouge… Des bombes miniatures qui explose au contact d’une surface rigide…

Elle sentis le souffle chaud de Ganon dans sa nuque et c’est ce moment qu’elle choisi pour lui lançais les trois petite dynamite dans la face de rat qu’il avait. Elle couru en direction inverse et vit au loin un nuage noir se former, Elle ne s’arrêta pas pour autant. Elle vit le miniature allonger parterre, essoufflé, elle courait toujours et juste lorsqu’elle passa au dessus de lui elle l’emporta dans ses bras, le regarda tendrement. Elle n’avait eu le temps de rien lui dire qu’il s’était déjà endormi dans ses bras.
Le blondinette le ballotta jusqu’à chez elle, et elle compris qu’il ne lui avait pas mentit, il venait bien d’Hyrule… Elle trouvait ça bizarre mais l’admit sans plus tarder. Elle le posa sur le lit et alla panser la blessure qui couvrait son épaule gauche. Elle n’était pas profonde mais étendu sur une grande distance, Elle commençais au dessus de l’épaule et descendait jusque dans son dos. Ce qui était normal vu que quand elle avait protégé Link elle était de dos. Elle avait tout pris a gauche, heureusement, en contre partie elle avait deux bonnes nouvelles, premièrement, Link était en vie, c’était très bon vu l’état de fureur de Ganon tout à l’heure, et sa blessure n’était pas si grave que ça, elle n’en mourait pas, il fallait seulement bien désinfecter la plaie et la laver. Elle s’observait devant le miroir de la salle de bain, elle était appuyée contre l’évier est regardée ses yeux sans vraiment les voir, perdu dans ses pensées, elle se réveilla pour prendre la bouteille de désinfectant, en imbiba une grande parti du coton quelle avait en main, et se déshabilla afin d’être torse nue….
Son corps était sublime, sa peau légèrement mate rendait ses yeux clairs et sa chevelure resplendissante. Avec le coton alcoolisé elle commença à essuyer la blessure, doucement, très doucement. Elle allait arriver à la fin de ce nettoyage très inconfortable, et très douloureux, mais elle n’y arrivait pas. Elle avait beau tenter dans tout les sens elle n’y arrivait pas, elle pensa que son frère pourrait l’aider mais, il n’était pas là… puis ses pensées s’arrêtèrent sur Link, elle rougis un instant avant de se reprendre…
Elle avait pris une grande décision…
Elle pris un serviette qui traînait sur le bord de la baignoire et la posa sur son torse, elle parcourue la pièce pour aller réveiller Link qui a sa surprise ne dormait pas sur le lit, mais était assis par terre et attendait les yeux dans le vague. Elle lui secoua doucement l’épaule. Il sorti de sa méditation et lui posa un regard interrogateur. Elle lui expliqua la situation et elle se retourna et il fini ce qu’elle avait commencée avec douceur et parcimonie élégante. Mayruhé le remercia et l’embrassa sur la joue, cela fit rougir Link, qui s’en voulu par la suite, et tourna la tête. May s’approcha de lui pour le taquiner, et lui sentis les cheveux elle se releva pour s’exclamer :

- Ca fait combien de temps que tu n’as pas pris de douche ?
- Hein ? qui ? moi ?
- Oui, toi ! Pas le curé dans face.
- Moi ça fait… Un petit moment… un petit moment de rien du tout, tu sais, pas trop longtemps quoi ! se risqua-t-il
- Bon maintenant je sais se qui me reste à faire…

Elle se jeta sur Link qui se débattit comme un lion. Apres ce cour instant où May fut nommée chef en direction des opérations, Link sauta dans la baignoire accompagné de la jeune fille…
Elle lui lava le dos sans délicatesse et Link ne cessait de se plaindre. Puis elle essaya d’y aller plus doucement, mais comme elle n’était pas du genre patiente, alors dés que ça lui repris le chou elle recommença à frotter comme une ivrogne.

- Mais arrête tu fais mal ! Se plain une nouvelle fois Link
- T’avais qu’à te laver au lieu de rien faire chez toi !
- Mais chez moi les douches ça existe pas !
- Ah bon ?
- Bin ouais ! Voila dans le nez ! Na !
- Ce n’est pas vrai ! J’ai un gamin avec moi ! Sauvée moi, je ne supporte pas se genre d’insecte sous mes pieds !
- D’abord chu pas un insecte ! J’ai beau être habillé en vert ça fait pas de moi un vulgaire insecte !

May recommença à frotter comme une ivrogne et la discutions se termina là. Ils allèrent se coucher, trop fatigué pour manger quoi que se soit et elle avait prévu que Link dorme dans la chambre de son frère, elle s’avançait donc vers la chambre de celui qu’elle haïrait bientôt. Elle tourna la poigné, et entra…

Enfin, voulu entrer…

La porte était fermée a clé et May resta beaucoup de temps contre la même porte à remuer la poigné dans le vide les yeux fermés et les sourcils froncés… Elle ne voulait pas s’énerver, et pourtant la colère montait peu a peu en elle. Elle rebroussa chemin et regard Link de travers, Link qui se sentit observé se tut et baissa la tête. May, désespérée, s’assit à coté de lui et lui releva la tête d’un geste fluide et rapide. Elle le regarda dans les yeux. Les yeux vert émeraude luisaient sur le visage infantile alors que les yeux gris de la jeune fille éclairaient son visage avec dureté. Cela était devenu un réflexe. Link devenait de plus en plus gêner par le visage imposant de la grande fille à ses côtés. Puis pour détendre l'atmosphère Link sourit, Mayruhé se décrispa un peu puis se mit a rougir en vu de la nuit qu'ils allaient passer ensemble, Link n'en savait rien et Mayruhé désespérée encore plus en silence, le moment critique arriva :

- Link, j'ai... j'ai une bonne ou mauvaise nouvelle ça dépend comment tu le prends.
- Vas-y je t'écoute, parle vite !
- La chambre de mon frère (ce C0nn@#d) est fermé a clé...
- Cool !
- QUOI !!! Tu trouves ça, cool ?
- Oui, j’aime pas le noir...
- ....
- ....
- T'aimes pas le noir ?
- Oui, mais je t'avoues que c'est juste quand je suis dans un lieu que je connaîs pas...
- C'est bon pour cette nuit mais demain tu dort parterre si mon c#n de frère n'est pas de retour...
- Sniff... tu peux pas me faire ça ? demanda Link les yeux plein de larmes
- .... On verra....Si t'es sage !

(A suivre dans le chapitre III)

Chapitre III : Arrêts des effets secondaire

May dormait paisiblement dans son lit même si un gamin profanateur, venait squatter. Mis a part ce petit détail, la nuit était fraîche et semblée les couvrir avec protection. La jeune fille, nageait dans ses rêves. Il faisait noir, terriblement noir. Même la nuit aurait parue palôtte face a cette noirceur... noir comme l'être qu'ils avaient affronter cette après midi, mais ce n'était pas encore assez noir, La seule chose qui pouvait rivalisé avec ce noir intense n'était autre qu'elle même. Elle se réveilla en sursaut, pour allait se désaltérer et oublier se mauvais rêve, cette voix lugubre qui n’était autre que son esprit. Déjà depuis trois ans cette voix la poursuivait. Depuis qu’elle avait tuée… Elle n’avait que dix neuf ans, l’age des folies et avec les copains, les copines, elle avait pris la voiture et s’était amusée à écraser les petits gosses dans la rue. Le sang, la vue du sang frais, et rouge était un délice. Que voulez vous, les temps était obscur et la ville était déchiré entre la vie, la guerre, la famine et tout autres problèmes indissociable d’une guère, alors quand les instincts sadiques, se réveillent au plus profond de vous, lorsqu’une petite vengeance est la bienvenue, on serait près a tout. Voila ce qui c’était passé ce soir là…
May revint à elle lorsque l’eau du robinet qui servait à remplir son verre déborda pour couler lentement comme la larme sur sa joue. Quand elle s’en aperçue, elle l’essuya du revers de manche et alla s’asseoir dans un fauteuil pourpre devant la grande baie vitrée. Elle sirota un petit moment sa boisson fraîche puis alla à la cuisine reposer son verre et lorsqu’elle revins elle vit Link de dos. Il paressé légèrement plus grand mais dans sa somnolence, elle n’y prêta aucune attention. Elle aurait voulu que le « grand » revienne mais elle n’avait pas le choix et devait vivre avec un miniature de poche. Ce n’était pas très agréable mais bon, elle l’aimait bien dans le fond…
Elle…
Elle se recoucha pour finir sa nuit et cette fois lorsqu’elle s’appuya contre Link elle sentis bien des changements, elle tourna la tête et à sa grande surprise vit, oui a sa grande surprise vit Link (sans blague. . .). Mais pas le petit Link encore juvénile, le grand, le beau, le fort ! Elle sourit tendrement et comme si de rien n’était, passa lentement ses bras autour du cou de son protégé… Elle était plus grande que lui, il était plus jeune qu’elle et alors que cela pouvait-il faire ? Rien, absolument rien, ils étaient là, tout deux, enfin surtout elle, enlacées comme deux bouts de fils pour former un petit cocon de chaleur.
Le soleil se leva timidement sur la ville grise et sombre, Un homme vil préparait encore un mauvais coup…
Link se réveilla et sentis un corps chaud contre le sien. Il continua de se réveiller et il s’aperçu à sa grande surprise que May l’enlacé tendrement. Il rougis à la vitesse d’un battement de cils, au niveau des pommettes. Il essaya de se délivrer de ce paquet qui avait fait naufrage sur la plage de son ventre, mais impossible, de plus il essayé d’être doux pour pas qu’elle ne c’en aperçoive plus ses gestes étaient secoués et tremblotants. Il respira lentement à fin de regagner son calme. C’est là qu’il remarqua les yeux gris, coléreux de May sur son visage, il sentit la sueur gagner du terrain sur son font, et pour essayer de pas se faire tuer sur place, lui gratta un peu les cheveux et dit :

-Dit moi, ça fait longtemps que tu m’observes ?
-Et toi ça fait longtemps que tu m’enlaces et que essaye de me faire des choses pas très catholiques ? De plus je suis ton aîné de quatre ans !
-A bon ? T’as vingt et un ans ? On dirait pas, je te donnait pas plus de dix neuf ! dit Link en partant dans éclat de fou rire, et cela ne fit qu’envenimé les choses.
-Et en plus tu te fous de moi ! Je te promet que si tu part pas dans les dix secondes que je te donne, sa va chauffé, et se ne sera pas ton poing qui va traversé la cloison mais le mien !

Link avala durement sa salive et commença à déguerpir du lit :

-un… commença patiemment May, deux…. Dix !

Elle se jeta sur Link et juste quand elle commençait à le taper de toutes ses forces, la porte s’entrouvrir et une autre tête blonde passa par là. Il était blond lui aussi, assez grand mais tout de même dans la moyenne, les yeux vert, de visage souriant et surtout le bout de ses long cheveux coloré en vert. On aurait su dire ce qu’il était tellement l’alchimie de se personnage était complexe. Il se retourna vers sa sœur et dit le sourire aux lèvres :

-Je suis rentré soeurette ! Oh ! Je ne voulais pas te déranger dans un moment comme celui là ! Sinon sa va toi ?
-Ça ira mieux lorsque je vous aurait arraché les tripes tous les deux et que je vous aurais tuée sauvagement ! lança Mayruhé toujours entrain d’étranglé Link
-Hou ! On se calme ! Dit le frère sortit de nulle part, le visage se décomposant rapidement sous la peur, je crois que j’aurait mieux fait de rester dans mon trou moi…
-Non car la sentence aurait été même pire si tu étais revenu encore plus tard ! reprit- elle férocement

Elle assomma rapidement Link qui resta sagement sur le carreaux, complètement HS. Elle s’avançait désormais vers sa seconde victime. Il essaya de fuir mais en vain, la tueuse en série le rattrapa sans demander son reste et commença a le tabasser jusqu'à que lui aussi tombe à terre, K.O. Un drôle de tableau était désormais sous ses yeux gris. May était au centre de la pièce assise en tailleur encore en pyjama et autour d’elle s’était l’hécatombe. On voyait Link au sol et le frère un peu plus loin. La jeune tueuse se leva et entra dans la cuisine. Le frère ouvrit les yeux, parfaitement conscient. Elle ne l’avait pas assommé assez fort. Il se releva avec hâte et juste au moment ou il allait rentrer dans sa chambre la sonnette retentie et une voix colérique s’exclama :

-ARKA !!
-Oui ? demanda le concerné à celle qui était derrière la porte d’entré
-Laisse moi entrer !
-Non !
-Quoi non ? SI !
-Mais je suis chez ma sœur !
-Et alors ! Moi je veux de toi ! C’est pas parce que mes parents ne veulent pas de toi que moi je ne t’aime pas... Détrompe toi, je t’aime plus qu’à la folie ! s’écria la voix d’une douceur infinie.
-Bon c’est pas bientôt fini ! rouspéta May, laisse là rentrer ta copine, mais qu’elle arrête de beugler comme ça dans le couloir ! Déjà que j’ai mauvaise réputation !
-Ok, j’ouvre ?
-Mais oui ! s’exclamèrent les deux filles

La porte s’ouvrit longuement et une jeune brune, blanche comme un cachet d’aspirine, en petite tenue rentra comme une flèche dans l’appartement et se suspendis à Arka. Mayruhé regarda cette scène presque avec envie, mais bon… Elle alla réveiller Link avec un verre d’eau froide :

-réveille toi !
-plouf ! (L’eau vient de heurter le crâne de notre pauvre Link) Ah ! c’est froid !
-Ha ! il ne fallait pas t’endormir !
-Mais tu ne pourrais pas être plus délicate ?
-…

La conversation s’arrêta là. Elle pris la direction de la salle de bain, sous les trois paires d’yeux des personnages présents. La jeune fille se présenta à Link en baissant la tête :

- Je suis vraiment désolé, mon prénom est Florianne !
- Ha… Heu… Ne vous inquiété pas c’est rien… Moi c’est… Heu, désolé j’ai des trous de mémoire… C’est Miguel
- C’est vraiment beau ! bon Arka, ma choupette, on va dans ta chambre on a quelque trucs a régler tout les deux…
- Mais tu veux pas que l’on reste ici ? C’est plus facile ! Surtout que j’ai besoin de témoin ! J’attend juste ma soeur et…

Il n’eu pas le temps de terminer sa phrase car Mayruhé sortit de la salle de bain à toute allure et marcha le visage grave vers la sortie, Arka tenta de l’arrêter au passage mais elle le bouscula et partie sans demander son reste. Arka regarda la porte s’ouvrir et se fermer sans broncher. Puis d’un air complètement hébété il regarda dans toute la pièce essayant de refuser se qui venait de se passer. Il ferma les paupières puis se ressaisit et les rouvrit, regardant Link droit dans les yeux et articula clairement et gentiment :

- Tu sais que qu’il lui a pris ?
- Non… dit Link en baissant la tête
- C’est pas grave ! Tu veux qu’on reporte ça a plus tard quand elle sera rentrée ? demanda la fille le sourire au lèvres
- Si tu veux…

Puis ils se dirigèrent vers la chambre, au fond du couloir de la maison. Link était là, au centre de la pièce, à ne rien dire, ne rien faire, il prenait une décision pour ce qu’il allait faire. Il se leva puis avec timidité alla toquer à la porte de la chambre du frère, celui-ci réapparue, demandant à Link ce que celui-ci voulait, et il demanda à Arka si il ne pouvait pas lui prêter des vêtements assez chaud pour aller dehors…
Cinq minutes après, Link descendait les escaliers de l’immeuble comme une flèche. A vrai dire ce n’était pas facile car May habitait au cinquième étage. Lorsqu’il arriva en bas il était complètement essoufflé. Mais il continua sans reprendre son souffle, il sortis dehors, et le vent glacé le surpris, surtout au niveau des joues. Elles refroidirent à vitesse grand V. Il remonta son col et partit explorer cette grande cité. Légèrement plus grande que le bourg d’Hyrule.
Il observait les rues, regardait si une ombre n’était pas entrain de se balader dans le coin. Il espérait revoir Mayruhé. Il l’aimait bien, dans le fond c’était une gentille fille. Il passa devant une ombre assise, appuyait négligemment sur le mur, il n’y prêta pas attention trop concentré dans ses pensées. Par contre l’ombre, elle, aperçue Link et dans un mouvement d’affolement partit en courant dans le sens inverse. Link regarda la fille qui venait de prendre la fuite sous son nez et jura ! C’était Mayruhé, il n’avait pas pris garde et elle fuyait sous son nez. Comme un réflexe, en un éclair il se mit à la poursuivre. Il la rattrapa vite, presque sans aucun effort, il l’attrapa par l’épaule la stoppant net dans son élan. Elle le regarda avec crainte et il vit ses yeux, il hoqueta de stupeur, elle avait les yeux rougis de larmes qu’elle avait pleuré et on voyait même la trace des larmes sur la peau de son visage. Son cœur se serra, sa souffrance le faisait souffrir comme si ils étaient liés l’un à l’autre, dans un élan de tristesse, il la serra fort contre lui. Elle fut surpris, elle ne s’y attendait pas du tout, elle pensait plus qu’il allait lui gueuler dessus comme l’aurait sûrement fais son frère. Non. Calme, il la prit contre lui. Un peu fort à son goût mais cela ne lui déplut pas pour autant, elle le laissa faire. Ils avaient beau être en pleine rue, les gens ne semblaient pas leur accordait un regard. Aussi il faut dire les personne présentes étaient cas-y nulle. Puis il la regarda et elle vit une larme rouler sur sa joue, il la regarda froidement, puis d’une voix sans timbre lui dit :

- Rentrons…
- Mais…
- Rentre !
- …

Elle ne dit rien, elle réagissait comme une enfant que l’ont venait de gronder, elle se tue et baissa la tête. Link regardait le vide amèrement. Le chemin pour revenir fut long, surtout sans les mots, les seuls à pouvoir tout remettre en ordre…
Ils arrivèrent quand même tant bien que mal à rentrer, et juste avant de franchir la porte Link fit signe a May de se taire, Il posa son index sur la bouche délicate de celle-ci et lui fit signe de rentrer, Elle était très étonnée, il avait ouvert la porte très calmement, et surtout sans qu’elle ne grince. Elle rentra sans un bruit, suivit de près par Link. Ils s’assirent touts les deux sur le lit, ne disant rien restant dans leur pensées. Ils laissaient libre cour au temps pour passer. Mayruhé décida tout de même après une petite demi heure de se lever et d’aller à la cuisine. Link de sa place entendit un juron long et dévastateur puis une voix colérique sortant de la cuisine :

- Nom de Dieu ! Petit c#n ! Arka si je te retrouve tu va mourir !
- Hein ? pourquoi ? dit Link étonné par la réaction de May
- Parce que cet ignoble frère ma laissé un mot disant a peu près ceci :

Cher soeur je ne veux pas t’embêter d’avantage, mais je décide de partir, avec Florianne, en voyage, j’espère que tu iras bien avec Miguel…
D’ailleurs c’est qui se Miguel ? demanda May
- Miguel ? c’est… c’est….

Et il ne put finir sa phrase car il partit dans un éclat de rire incontournable, et pour dire il n’arrivait plus à s’arrêter, comment allait-il lui expliquer la situation ? Il ne savait pas mais sur le moment, voir, May, le visage neutre avec une expression interrogative le fit rire, et pour cause, ce n’était vraiment pas habituel… Il se roula par terre, c’était la première fois qu’il riait ainsi, il ne comprenait plus, ça le faisait tant rire… Il se releva quand même au bout d’un moment, assez calmé.

( a suivre )

suite chapitre III

Mayruhé avança vers lui, son l’index droit et comme une enfant elle l’enfonça dans le torse du jeune elfe. Il ne comprit pas vraiment ses intentions, mais il sentit une force inhabituelle le poussait. Il se laissa guidé avec appréhension de la suite. Ils avançaient, dans la pièce, le soleil à peine levé. Puis Link huerta le bord du lit et fut déséquilibré. Il tomba et May tomba sur lui. Elle sourit… Elle l’avait fait exprès. Elle abordait un sourire de vainqueur et s’assis en tailleur sur Link étendu sur le lit. Elle lui dit d’une voix triomphale :

- Je suis plus âgée que toi et donc plus forte !! Tu es vraiment faible !
- Quoi ? répète ?
- Tu es faible !! Haha !
- …
- Tu dis rien ?
- … Ton lit est à deux places ?
- C’est quoi cette question ?
- Oui ou non ?
- Oui !

Et c’est à ce moment que Link pris les épaules de Mayruhé et la retourna. Il était désormais en position de supériorité. Il était au dessus d’elle et ses cheveux pendaient dans le vide, il soupira bruyamment.

- Qu’est ce que t’as a soupirer ?dit May d’un ton ocre
- Tu vois, si je ne t’avais pas demander si ton lit était à deux places je n’aurait jamais put faire ça
- Quoi ça ?
- Te mettre en position d’infériorité ! Sinon on serait tombés et comme ton lit est assez haut tu aurais tout pris et je l’aurais regretté !
- … juste pour ça ?
- Oui…

Il était sur elle et la plaquait contre le lit avec force, elle essayer de se libérer. En vain.
Link lui souriait avec légèreté. Les joues de Mairuhé s’empourprèrent, et devinrent presque vive, tant elles étaient rouges. Link la lâcha et elle le regarda avec suspicion, les yeux à demi fermés. Il allait se relever quand elle lui sauta dessus et il retomba sur le lit. La blonde dans son dos. Elle l’étranglait désormais avec force toujours pour se venger de ce qu’il lui avait dit. Puis il réussi à se libérer tant bien que mal et il l’attrapa. La lutte acharnait dura encore une bonne heure. May empêchait Link de se lever et Link faisait de même. Ils étaient, à la fin de ce math, complètement indécis sur celui qui avait remporté ou pas. Essoufflés, tout deux étaient sur le lit allongés, trempe de sueur. May regardait Link, Link regardait May. Ils rougirent tout les deux, puis Link tourna la tête, May, elle, ferma les yeux. Pourquoi son cœur bondissait dans sa poitrine, pourquoi, se sentiment de chaleur se rependait partout dans son corps ?

Pourquoi ?

Elle se décida. Elle n’avait jamais encore connu se genre de sensation et son instinct la poussa, elle se mis contre Link qui était dos à elle et le pris dans ses bras. Il se retourna lui aussi plus rouge qu’une pivoine. A les voir comme ça on aurait dit deux gamins. Pareil, ils n’avaient jamais connu « L’amour ».

Puis la timidité les quitta, ils s’aimaient, ils devaient en profitait pleinement. Link l’embrassa avec une douceur incroyable, elle répondit à son appel. Elle voulue répondre a cette demande…
Mais. . .
Une première vitre de la véranda se brisa, les deux se regardèrent, se relevant à l’unisson, ils regardaient la vitre, les morceaux de vitres sur le sol. Puis une voix, forte et malhonnête se fit entendre, May et Link comprirent avec effrois, qui était à l’origine de ce bouleversement. Ils la connaissaient désormais bien. Le visage de May se durci, et Link compris et lui aussi…





(A suivre dans le chapitre IV. . .)



(P.S : si vous remarquer, la maison commence a être bien amochée, la cloison en premier chapitre, la poignet de la porte de la chambre d’Arka, je l’ais pas mentionnée mais May la cassé et maintenant les vitre le la véranda. . . c’est plus un appart. C’est une décharge !)